Nous aimons utiliser les technologies pneumatiques, nous sommes enthousiastes à propos des solutions, mais ...

Les entreprises sont encouragées à économiser l'énergie. Il s'agit le plus souvent d'électricité, de gaz ou de pétrole. On analyse donc à quels moments les appareils peuvent éventuellement être mis en veille, on compare les fournisseurs d'électricité dans leur ensemble, … et les résultats en termes de réduction de consommation sont souvent faibles.

Bien qu'on trouve aujourd’hui divers indices sur le net et de la part des fabricants que les coûts associés à l’utilisation de l’air comprimé peuvent être assez importants, presque personne ne les connaît ou ne les analyse.

Selon la devise : "Pas de données, pas d'action". Des fabricants renommés proposent également un "service d'économie d'énergie" dans leur catalogue de services. Une analyse de la consommation d'air comprimé y est effectuée. Si cette mesure est répétée chaque année, on peut en déduire si des machines et des systèmes spécifiques ont une consommation d'air plus élevée qu'auparavant et cette fuite doit être suivie. De même, les machines à dérivation stationnaire pourraient être testées chaque année. Bien sûr, il y aura des écarts, mais ils ne sont vraiment acceptables que dans une faible marge de tolérance.

Il existe également une autre méthode, qui consiste à se rendre sur site le dimanche (si la production n'est pas en cours à ce moment-là). En supposant que le compresseur fonctionne, vous entendrez des sifflements. C’est de l’argent qui part par les fenêtres.

Examinons l'une de nos solutions et évaluons les coûts.

L'air comprimé est souvent utilisé pour souffler les pièces ; dans l'industrie des verres ophtalmiques, on trouve des buses à jet plat à divers endroits pour souffler sur les verres. Combien coûte l'air comprimé pour ce soufflage ?

Exemple réel tiré d'une production. Combien de buses à jet plat utilisez-vous ?

En général, de l'air comprimé à 6 bars est disponible dans le réseau d'air comprimé d'une entreprise. On peut supposer qu'environ 5 bars sont perdus et environ 1 bar arrive à la pièce.

L'exemple de calcul ci-dessus montre que ces deux buses à jet plat représentent une dépense d’"énergie" d’environ 2 000,00 € par an.

Cette constatation nous a amenés à chercher d'autres solutions pour cette application. Après de nombreuses discussions à propos des sèche-mains et d'autres solutions, nous construisons maintenant des turbines spéciales délivrant un débit d'air optimisé en conséquence, ce qui nous permet de payer l'équipement en un an et d'économiser de l'énergie à long terme.

Une contribution de notre part à l'environnement.

Notre solution de turbines ne nécessite qu'une prise de courant de 230 V. Un sélecteur permet de choisir si le ventilateur fonctionne en continu, s'il est commandé par un capteur (barrière lumineuse) ou s'il est commandé par un autre système de contrôle via un contact sans potentiel.

Intéressé ?

Nous vous enverrons volontiers ce tableau Excel à remplir avec vos valeurs et vous proposons également notre solution de soufflerie sans engagement.